les revues
REVUE AU NUMÉRO
Première publication culturelle et touristique de la Nouvelle-Aquitaine, la revue le festin permet à un large public de découvrir les richesses artistiques de la région. Du local à l’universel, des monuments historiques à la création la plus contemporaine, la revue trimestrielle défend, depuis près de 30 ans, une vision dynamique et originale de la culture.
[ PAIEMENT PAR CARTE BANCAIRE ]
Nouveau ! Vous pouvez désormais payer directement par carte bancaire en nous appelant au 05 56 69 72 46.
[ VERSION NUMÉRIQUE ]
La revue est disponible en version numérique pour seulement 9€ sur Scopalto : http://bit.ly/2oVVaY0
[ PAIEMENT PAR CARTE BANCAIRE ]
Nouveau ! Vous pouvez désormais payer directement par carte bancaire en nous appelant au 05 56 69 72 46.
[ VERSION NUMÉRIQUE ]
La revue est disponible en version numérique pour seulement 9€ sur Scopalto : http://bit.ly/2oVVaY0
REVUE 2007

- Version PDF à télécharger uniquement
Ref : F60-PDF

- Version PDF à télécharger uniquement
Ref : F61-PDF

Le Festin #62 - Villas rêvées
Été 2007 / 112 pages / 22 x 28 cm
Le thème séduisant de la «villa rêvée» sert de révélateur à notre appétit de curiosité. En effet, que l’on évoque l’éclectisme d’un manoir écossais de la Ville d’Hiver, les petits palais Art déco de Roger-Henri Expert, ou encore les étoiles basques de Joseph Hiriart, l’histoire du patrimoine régional recoupe celle des grands courants architecturaux. Mieux, ce mouvement se poursuit aujourd’hui avec les projets audacieux imaginés par l’Atelier provisoire ou la talentueuse Émilie Brochet. On comprend, à être l’hôte privilégié de ces demeures étonnantes, qu’il reste beaucoup à découvrir. Mais cette ouverture, c’est d’abord le travail des chercheurs qui la permet. Ce sont eux qui par la justesse de leurs analyses et l’originalité de leurs interprétations donnent du relief et de la profondeur aux surfaces trop exposées, qui attirent notre attention sur la singularité d’un style, renouent avec des créateurs parfois oubliés. Prendre le temps de la réflexion et de la maturation est particulièrement important sur des aires aussi convoitées que peuvent l’être les paysages balnéaires où l’architecture qui y fut édifiée reste plus que jamais un héritage vulnérable.
Été 2007 / 112 pages / 22 x 28 cm
Le thème séduisant de la «villa rêvée» sert de révélateur à notre appétit de curiosité. En effet, que l’on évoque l’éclectisme d’un manoir écossais de la Ville d’Hiver, les petits palais Art déco de Roger-Henri Expert, ou encore les étoiles basques de Joseph Hiriart, l’histoire du patrimoine régional recoupe celle des grands courants architecturaux. Mieux, ce mouvement se poursuit aujourd’hui avec les projets audacieux imaginés par l’Atelier provisoire ou la talentueuse Émilie Brochet. On comprend, à être l’hôte privilégié de ces demeures étonnantes, qu’il reste beaucoup à découvrir. Mais cette ouverture, c’est d’abord le travail des chercheurs qui la permet. Ce sont eux qui par la justesse de leurs analyses et l’originalité de leurs interprétations donnent du relief et de la profondeur aux surfaces trop exposées, qui attirent notre attention sur la singularité d’un style, renouent avec des créateurs parfois oubliés. Prendre le temps de la réflexion et de la maturation est particulièrement important sur des aires aussi convoitées que peuvent l’être les paysages balnéaires où l’architecture qui y fut édifiée reste plus que jamais un héritage vulnérable.
Ref : F62

Le Festin #63 - Arts du feu
Automne 2007 / 112 pages / 22 x 28 cm
En Aquitaine, dans son théâtre d’Agen, Pierre Debauche poursuit avec opiniâtreté son éveil à la création tout en partant sur les routes diffuser les grands textes de notre héritage littéraire. À Périgueux, le plasticien Michel Brand coiffe d’un éphémère cône de lumière une tour médiévale et l’imaginaire du monument s’en trouve soudain réactivé. L’art est vivant car c’est d’abord une pratique avant d’être une histoire. Les arts du feu sont aussi faits de ces métissages. La pureté de la forme naît de la confrontation périlleuse avec la matière; les styles vernaculaires y côtoient le grand art; la production en série rivalise avec la pièce unique; le profane dialogue avec le sacré, l’utile avec le beau… C’est cette diversité qui nous les a fait choisir comme thème central d’un dossier, que nous avons voulu subjectif et pluriel, nous aventurant dans des domaines où nous n’étions pas en terrain conquis.
Automne 2007 / 112 pages / 22 x 28 cm
En Aquitaine, dans son théâtre d’Agen, Pierre Debauche poursuit avec opiniâtreté son éveil à la création tout en partant sur les routes diffuser les grands textes de notre héritage littéraire. À Périgueux, le plasticien Michel Brand coiffe d’un éphémère cône de lumière une tour médiévale et l’imaginaire du monument s’en trouve soudain réactivé. L’art est vivant car c’est d’abord une pratique avant d’être une histoire. Les arts du feu sont aussi faits de ces métissages. La pureté de la forme naît de la confrontation périlleuse avec la matière; les styles vernaculaires y côtoient le grand art; la production en série rivalise avec la pièce unique; le profane dialogue avec le sacré, l’utile avec le beau… C’est cette diversité qui nous les a fait choisir comme thème central d’un dossier, que nous avons voulu subjectif et pluriel, nous aventurant dans des domaines où nous n’étions pas en terrain conquis.
Ref : F63